« Inspiré de l'oeuvre symphonique de Prokofiev, Pierre Brulhet s'approprie et développe le conte originel, en le situant dans un village des Carpates bulgares. Bien qu'il s'agisse d'un livre "jeunesse", l'auteur ne néglige pas la dimension horrifique de son récit, propre aux meilleurs contes. La violence et la mort surgissent au sein même du foyer, la nature hostile peut s'avérer cruelle, et les loups n'épargnent pas les faibles. C'est avant tout une question de survie lors d'une lutte féroce qui fait parfois penser aux romans de Jack London se déroulant dans le grand Nord. L'auteur se sert aussi du contexte historique pour y faire intervenir les envahisseurs turcs. Enfin, les éléments fantastiques introduiront une certaine poésie. Dans ce livre-objet soigné, le lecteur aura le plaisir de découvrir plusieurs illustrations inspirées. »
« J’ai adoré la plume de l’auteur, elle est sympathique et fluide. C’était plaisant à lire et il ne m’a fallu que vingt-quatre heures pour terminer ce roman que j’ai adoré.
Quelques dessins parcheminent cette œuvre. J’ai pris beaucoup de plaisir à m’y attarder, à regarder les nuances de gris qui jouent sur les personnages ou les décors.
 
Bref, ce fut une excellente lecture et j’ai hâte de découvrir le prochain roman jeunesse des éditions Luciférines. »
« A la fois basé sur des faits historiques et sur un fond de culture générale, ce texte est vraiment autant pour les jeunes que les adultes (avec une petite réserve sur les morts, en particulier celui de la maman de Pierre, qui pourrait toucher les plus jeunes lecteurs) et nous conduit là où on ne s’y attendait pas.
Comme quoi, on peut réviser les classiques sans les trahir ! »
« Je connaissais déjà la plume de Pierre Brulhet au travers de ses romans précédents et une nouvelle fois j’ai été charmée par cette façon d’écrire. L’auteur nous berce, nous accueille dans son univers, il y a beaucoup de détails. C’est assez difficile à décrire mais j’ai l’impression d’être prise par la main et que l’auteur me fait visiter sa création. »
« Derrière chaque chapitre, les agressions rebondissent . Nous sommes paralysés par l'enchaînement rapide des événements. La plume aiguisée de Pierre Brulhet alterne une lutte glaçante avec les Turcs et une meute de loups. Il nous plonge dans une atmosphère sombre et terrifiante . Les illustrations qui accompagnent le récit révèlent ce constat. Les personnages sont admirables par leur bravoure.
 
Pierre Brulhet signe un livre jeunesse captivant qui nous parle d’histoire , de croyances , dans un univers fantastique. »
PIERRE  BRULHET
« Je ne pouvais pas me taire. Aujourd'hui je tiens à vous parler de "Pierre, le chasseur et le loup" , le roman de Pierre Brulhet.
 
Comment définir le magnifique composé de ce récit sans en dévoiler son entièreté ? L’association d’une rédaction fluide, et de la mise en scène d’un équilibre qui tire le suspense à son comble, forme un mélange qui accroche la curiosité et pousse le lecteur à aller jusqu’au bout, sans reprendre sa respiration. Culotté, Pierre Brulhet ose reprendre le conte musical "Pierre et le Loup" du compositeur russe Sergueï Prokofiev, et ceci avec brio.
Nous parcourons les lignes de ce roman presqu’à la manière d’un spectateur assis dans une salle de cinéma : une rédaction en trois dimensions nous donne parfois presque des frissons tant le détail émeut les sens, aussi bien dans les descriptions des lumières, des couleurs, que celle du froid nordique. Les mots donnent parfois la chair de poule ou poussent le cœur à un rythme effréné.
Ce conte fantastique, mêle subtilité, intrigue et déroulé presque cinématographique, lesquels contraignent toujours le suspense jusqu’à la limite.
Enfant ou adulte, chacun s’y retrouvera dans cette narration : un message pour chacun d’eux, une vision des drames de la vie appropriée à l’un et l’autre, une vraie leçon de courage que chacun interprétera à sa manière.
Chaque fin de chapitre laisse le lecteur sur sa faim, histoire de lui donner envie de se rassasier en entamant le suivant : là est une belle prouesse de Pierre Brulhet.
Une fin ouverte qui, malgré une part de tristesse, témoigne d’une belle leçon de courage et donne l’envie de dire : pourquoi ne pas laisser la place à la confiance même lorsque celle-ci revêt le masque d’un monstre ?
Une conclusion finement menée qui offre le droit à chaque lecteur de convenir d’une liberté de penser et de déduire.
 
Lisez-le seul, faites-le lire à votre enfant, ou mieux, lisez-le ensemble.
 
Vite, allez visiter le site des éditions Luciferines et Procurez-vous cette petite rareté ! »
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